La ferme des animaux, GEORGE ORWELL.

Lu en français.

Prix : 6,40€

Pages : 151.

Maison d’édition : Folio.

Terminé le 28-12-2015.

Synopsis :

Un certain 21 juin eut lieu en Angleterre la révolte des animaux. Les cochons dirigent le nouveau régime. Boule de Neige et Napoléon, cochons en chef, affichent un règlement:

Tout deuxpattes est un ennemi. Tout quatrepattes ou tout volatile, un ami. Nul animal ne portera de vêtements. Nul animal ne dormira dans un lit. Nul animal ne boira d’alcool. Nul animal ne tuera un autre animal. Tous les animaux sont égaux.

Le temps passe. La pluie efface les commandements. L’âne, un cynique, arrive encore à déchiffrer :

Tous les animaux sont égaux, mais certains le sont plus que d’autres.

Mon avis :

J’ai reçu ce livre de mon parrain pour Noël, il m’a dit qu’il avait changé de genre de livre cette année pour que je découvre d’autres styles d’écriture.

En me l’offrant, il m’a dit que c’était le livre qui lui avait donné le goût de la lecture pour ce genre de livres, les livres dont les auteurs étaient déjà morts.

Comme le roman ne faisait pas beaucoup de pages je l’ai commencé dès que je l’ai reçu.

J’avoue que l’idée de lire ce livre de m’enchantait guère car ça me faisait pensé aux livres obligatoires qu’on doit lire pour l’école, mais je l’ai quand même commencé.

Et en fait, quand je l’ai commencé, je me suis rendu compte que l’écriture était quand même simple par rapport à ce à quoi je m’attendais. L’histoire se lisait facilement sans trop être concentré, et les mots n’étaient pas trop durs.

Si on regarde l’histoire comme elle est écrite, on dirait une histoire pour les enfants qu’on raconte avant d’aller se coucher. Mais, si on y regarde mieux on peut voir qu’il y a pleins de messages cachés, de sous-entendus.

C’est ça que je trouve vraiment intelligent, à partir d’une histoire de ferme et d’animaux, l’écrivain arrive à nous faire passer une morale sur nous les hommes.

Comme je n’y connais trop rien à l’Histoire je ne peux pas trop dire quel événement ou quelle guerre ou je ne sais pas quoi l’auteur critique.

Ma note : 3/5